Actu nationale: la Gironde « mieux préparée » mais prudente pour l’été d’après #France

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Infos France: histoire d’une révolution devenue un fléau pour l’environnement

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Depuis le début du XXe siècle, le plastique s’est peu à peu imposé dans tous les domaines de notre vie quotidienne et de l’industrie, jusqu’à devenir une menace pour l’environnement. Retour sur son histoire et sur les tentatives pour s’en débarrasser.

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La naissance de l’ère plastique

L’origine du plastique remonte au milieu du XIXe siècle avec l’invention en 1856 de la « parkésine » par le chimiste britannique Alexander Parkes. La matière, composée de celluloses végétales, est à la fois résistante à l’eau, rigide, mais flexible et capable d’être moulée et travaillée comme le métal. Quelques années plus tard, en 1870, les frères Hyatt inventent aux États-Unis le « celluloïd » qui est utilisé pour fabriquer les balles de tennis de table et les pellicules photo. Mais la matière hautement inflammable ne connaitra pas un franc succès.

La création de la « bakélite » en 1907 par le chimiste belgo-américain Leo Baekeland donne naissance au plastique industriel. On use cette matière synthétique pour les téléphones, les lunettes, les prises électriques, les cendriers… En 1926, la société BF Goodrich, en collaboration avec le scientifique Waldo Semon, lance le PVC – polychlorure de vinyle – très flexible et facile à fabriquer en en utilisant le pétrole brut comme matière première. Puis viennent le nylon, le polystyrène et le polyéthylène, qui se séparent tous du même composant : le pétrole.

L’après-guerre fait entrer les plastiques dans la vie quotidienne. Des emballages alimentaires jusqu’à l’aéronautique ou l’automobile, ils sont partout. Jusque dans la nature, où finissent des milliers de tonnes de déchets plastiques. La matière, qui semblait n’avoir que des avantages, se révèle finalement bien encombrante. Au point de devenir un fléau pour l’environnement.

La production et la consommation de masse

Selon le Programme pour l’environnement des Nations unies, chaque année, plus de 280 millions de tonnes de produits en plastique sont brièvement utilisés avant d’être jetés. Quarante-six pour cent de ces déchets sont déposés dans les décharges, tandis que 22 % terminent dans la nature. Seul moins de 10% du plastique est recycler dans des usines spécialisées.

Le WWF France (Fond mondial pour la nature) pointe une très mauvaise gestion de ces déchets plastiques. « Les déchets mal gérés font référence au plastique non collecté, jetés sur la voie publique ou gérés dans des décharges non contrôlées. On estime que la majorité de ces déchets plastiques mal gérés ont pollué les écosystèmes terrestres et que 80% du plastique dans l’océan provient de sources terrestres », souligne l’organisation.

Une fois ces déchets plastiques dans la nature, difficile pour elle de s’en débarrasser. Il faut en effet à cette matière – non biodégradable – une centaine d’années pour se décomposer. Ses fragments s’éparpillent alors dans tous les écosystèmes et sont souvent ingérés par les animaux. Toujours selon le WWF, qui se base sur une étude de l’université de Newcastle, un être humain consommerait ainsi en moyenne chaque semaine 5 grammes de plastique, soit l’équivalent d’une carte de crédit.

Le danger vient également de grandes quantités des microplastiques, ces minuscules particules estimées à moins de 5 mm de diamètre. Elles sont produites par la décomposition des pneus, des tissus synthétiques qui perdent les fibres à chaque lavage ou encore des microbilles se trouvant dans les produits cosmétiques.

La production de plastique est par ailleurs l’un des processus de fabrication parmi les plus énergivores de la planète. Conçu à partir de pétrole brut transformé à l’aide de la chaleur et de différents additifs, il contribue au réchauffement climatique. Selon le Programme pour l’environnement des Nations unies, en 2019, les plastiques ont généré 1,8 milliard de tonnes de CO2 (gaz à effet de serre), soit 3,4% des émissions mondiales.

Les efforts pour lutter contre la pollution

2022, les efforts au niveau international Depuis visant à mettre fin à la pollution plastique se multiplient. Un comité intergouvernemental sous l’égide de l’ONU travaille actuellement sur un traité international. Des mesures concrètes sont attendues à la fin de l’année 2024.

Mais les engagements actuels et ceux à venir doivent être accompagnés aussi par un changement radical dans les habitudes de consommation et de production des matières plastiques. Selon le Programme pour l’environnement de l’ONU, il est nécessaire de passer à une économie circulaire dans laquelle le plastique fabriqué reste utilisé aussi longtemps que possible.

C’est aux gouvernements d’encourager l’innovation et la mise en place d’un programme pour que les entreprises puissent abandonner les plastiques inutiles, comme les objets à usage unique. Les solutions doivent être trouvées afin de promouvoir les produits réutilisables mais aussi une meilleure gestion des déchets.

Un changement de pratiques peut également être adopté à l’échelle individuelle, en évitant la consommation de plastiques à usage unique, ou en déposant ses déchets aux points de collecte pour qu’ils puissent être recyclés.

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Photographie/Personnalités/M/France Mesesnel.,Présentation du livre.

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Informations France: signature d’un protocole d’accord avec la Cour pénale internationale mais sans annonce forte

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La RDC et la Cour pénale internationale (CPI) ont signé un protocole d’accord sur le renforcement de leur coopération pour lutter contre l’impunité face aux crimes de guerre et contre l’Humanité, le 1er juin 2023 à Kinshasa. Aucune annonce forte n’a cependant été faite en conclusion de la visite en RDC du procureur de la CPI.

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Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) ont signé un protocole d’accord sur le renforcement de leur coopération pour lutter contre l’impunité face aux crimes de guerre et crimes contre l’ ‘humanité, ce jeudi 1er juin 2023, lors d’une cérémonie à Kinshasa. Point d’orgue d’une visite de quatre jours dans le pays pour Karim Khan qui s’est notamment rendu dans l’est de la RDC.

Ce 2 juin 2023, aucune information n’a été filtrée sur le contenu de ce mémorandum. Pas d’annonce forte non plus à la suite de ce voyage, pas de nouvelle ligne d’enquête ouverte ouverte. Ce qui ne signifie pas que cela n’est pas en cours. La CPI peut retenir des informations pour les besoins d’une enquête.

La Cour avait été directement saisie par les autorités de Kinshasa concernant les crimes du mouvement M23. Sur ce point, le procureur ne s’est pas exprimé.

« Trouver des solutions plus imaginatives »

Karim Khan a en revanche rappelé que la RDC était l’un des plus anciens dossiers de la CPI – ouvert en 2004 – qu’il y avait déjà eu des condamnations, uniquement dans le sous dossier Ituri.


Mais il n’a pas évoqué les crimes récents et notamment les événements de Kishishe de novembre 2022, sur lesquels le bilan fait débat, mais qui a poussé des organisations de défense des droits humains à demander une enquête internationale.

Karim Khan a souligné que des choses avaient été faites « niveau national » et a ajouté qu’il fallait « trouver des solutions plus imaginatives ».

Lorsqu’on évoque avec des spécialistes de la justice internationale des solutions imaginatives, tous ont à peu près la même analyse : s’éloigner de la CPI et aller chercher des solutions ailleurs (tribunal ad hoc, cour spéciale).

Quid des crimes commis avant 2002 ?

Un tribunal spécial pour la RDC, ce n’est pas une idée nouvelle. Elle a été portée par nombre d’acteurs humanitaires, judiciaires, politiques, notamment pour une raison simple : la CPI ne peut s’intéresser qu’aux crimes et autres survenus depuis sa création en juillet 2002. Pour la RDC, cela signifie que tout ce qui s’est passé avant cette date échappe à sa compétence et ça concerne la quasi-totalité du rapport Cartographie.

Publié en octobre 2010, ce rapport du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a répertorié de nombreux crimes de guerre, crimes contre l’humanité et de possibles crimes de génocide commis entre 1993 et ​​2003 en RDC.

Encore aujourd’hui, il n’y a pas eu de suites judiciaires à cette enquête sans précédent. D’où cette idée récurrente d’un tribunal qui aurait pour charge de juger les crimes du rapport Mapping, mais aussi toutes les violations des droits de l’homme dans le pays commis et qui ne sont pas – ou qui ne peuvent pas être – du ressort de la CPI.

Personnellement, je pense que les dossiers du Nord-Kivu sont des dossiers qui ont atteint une certaine urgence compte tenu de l’ampleur des questions des violations des droits de l’homme qui ont été commises là-bas. Mais on est aussi conscient que le CPI ne va pas s’occuper de tous les cas de violations des droits de l’homme qui relèveraient de sa compétence en République démocratique du Congo. Il est clair que, pour nous, la justice congolaise doit pouvoir agir. Il faut aussi qu’on puisse que les autorités de la RDC continuent les plaidoyers qu’elles ont déjà commencé à faire pour la création d’un tribunal spécial pour le Congo. Ce tribunal est important pour s’occuper de certains cas qui ont eu lieu avant l’entrée en vigueur du Statut de Rome [traité international qui a créé la CPI, Ndlr]mais aussi d’autres cas dont l’IPC ne pourrait pas s’occuper directement.

Jean-Claude Katende, président de l’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho)

>> À lire aussi : >> À lire aussi : Le procureur de la Cour pénale internationale achève sa visite en RDC

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