Mack a donné aux conseillers un aperçu d’une période d’essai de trois semaines approuvée par le TxDOT pour le stationnement de secours prévue du 7 au 22 juillet dans le but de ralentir davantage la circulation dans le centre-ville et d’accroître la sécurité des piétons. Le déménagement offrira plus de places de stationnement que le stationnement en parallèle, offrira une sécurité supplémentaire aux passagers qui déchargent loin de la circulation et une meilleure vue pour les conducteurs qui se fondent dans la circulation. Recherchez plus de détails sur l’étude dans l’édition du jeudi de The Paris News et sur le site Web de la ville à l’adresse www.paristexas.gov.

Le directeur municipal Grayson Path a déclaré que les travaux de conception et les plans de contrôle de la circulation étaient en place, que les spécifications de l’offre étaient prêtes pour le processus d’appel d’offres et que les fonds de l’American Rescue Act étaient disponibles avant de présenter l’ingénieur de conception Jason Hart.

«J’ai visité le bâtiment et j’ai découvert que le toit s’était effondré du coin sud-est jusqu’au troisième étage, du coin sud-est jusqu’au sous-sol et des morceaux de béton pendaient à des barres d’armature à différents niveaux. Il est définitivement dangereux d’être dans ou autour du bâtiment », a déclaré Hart.

Lorsque le conseiller Clayton Pilgrim s’est renseigné sur le calendrier et le coût d’achèvement, Hart a estimé un coût entre 500 000 $ et 700 000 $ avec un délai d’environ 10 semaines du début à la fin, y compris l’enlèvement de la dalle et du sous-sol, le nivellement de la propriété et la plantation de gazon.

Le conseil Gary Savage a interrogé le personnel sur la propriété du bâtiment alors qu’il approuvait le projet. L’avocat Harris a expliqué que la ville avait un privilège de jugement du tribunal de district de plus de 2 millions de dollars.

« Donc, la façon dont nous établirions la propriété est de mettre la propriété en vente pour une vente par le shérif pour satisfaire au jugement, et ensuite vous savez, la ville peut enchérir là-dessus », a déclaré Harris. « Je ne nous vois pas avoir de difficulté à être la meilleure offre. »

Le directeur financier de la ville, Gene Anderson, a expliqué la nécessité d’un nouveau système logiciel financier pour remplacer un serveur obsolète des années 1990 et télécharger les opérations financières clés telles que la paie, les comptes débiteurs et créditeurs et plus encore vers un système basé sur le cloud.

« Si notre serveur devait tomber en panne, tout cela cesserait de fonctionner, ce qui signifie essentiellement que la ville cessera de fonctionner jusqu’à ce que nous puissions le restaurer », a déclaré Anderson en ajoutant que la sécurité d’un système basé sur le cloud est bien meilleure. avec l’aide de l’entrepreneur proposé, la société de logiciels OpenGov.

Bien que la mise à niveau du logiciel ne figure pas dans le budget de l’année en cours, M. Anderson a déclaré que les revenus excédentaires perçus au cours de cet exercice suffisent à couvrir les coûts : 175 000 $ pour des frais d’installation uniques et des frais de maintenance annuels de 80 000 $.

« Nous essayons de tirer parti d’une fenêtre ouverte et d’un calendrier d’incrémentation des tâches pour effectuer la mise à niveau compte tenu de l’état actuel et de la dégradation de nos serveurs », a déclaré Anderson en expliquant que la transition vers un nouveau logiciel prendra six à neuf mois à mettre en œuvre. « Nous avons l’impression de commencer le plus tôt possible. »

Dans une autre action, le conseil a nommé les conseils et commissions de la ville, approuvé les demandes de changement de zonage pour 6,9 acres de bureau à résidentiel à haute densité sur une propriété appartenant à l’église baptiste de Springlake au 3500 Clarksville St. et une autre demande d’une famille à deux familles au 2801 E. Price St.

Après avoir reçu des mises à jour du procureur de la ville lors d’une session exécutive sur un litige avec Essent Healthcare, supposé concerner un abattement fiscal annulé lors de la fermeture par Essent du campus sud du Centre médical régional de Paris en 2018, le conseil n’a pris aucune mesure après être revenu sur un bref séance publique.

L’impression 3D est la construction d’un objet en trois dimensions à l’aide d’une conception assistée par ordinateur dans laquelle le matériau – un type de plastique – est déposé couche par couche, selon « PC Magazine ».

Lors de la première réunion du groupe, le directeur de la bibliothèque a déclaré qu’ils ralentissaient encore les choses après des problèmes initiaux avec l’imprimante 3D de la bibliothèque, un don de Lawman elle-même.

« C’était mon imprimante », a-t-elle expliqué alors que l’imprimeur construisait mécaniquement une figurine choisie par le club, « alors peut-être qu’un jour nous aurons une autre imprimante pour la bibliothèque, mais en apprendre la logistique est l’idée du club et juste être au courant de la technologie qui existe maintenant.

Vivian Beasley, la nouvelle paraprofessionnelle adolescente de la bibliothèque, dirige le club, ainsi que plusieurs autres programmes cet été.

« Nous essayons d’utiliser ces broches 3D », a déclaré Beasley alors qu’ils attendaient que leur travail d’impression termine sa construction de deux heures et demie. « Ils sont un peu lourds, mais c’est essentiellement une forme plus petite de l’imprimante 3D.

Sur les six enfants inscrits à la classe, seuls trois y ont assisté et aucun n’a voulu être interviewé.

« Nous avons cinq créneaux ouverts à chaque rencontre, et six personnes ont écrit leur nom, et seulement trois se sont présentées », a déclaré le directeur de la bibliothèque, indiquant qu’il y avait encore de la place pour grandir.

Après avoir institué plusieurs nouveaux programmes jamais offerts auparavant, Lawman a déclaré qu’elle pensait que le public avait été réceptif.

« Ce n’est pas une pensée originale que d’essayer de présenter aux Parisiens que les bibliothèques sont des centres communautaires », a déclaré Lawman. « Ce devrait être des lieux actifs et prospères de création, de collaboration, ce genre de choses. Nous ne sommes pas que des livres, et nous n’avons pas besoin de nous taire. C’est pour les bibliothèques universitaires.